Le Rose Belle pharmaceutical and life science park prend forme

Le Rose Belle Business Park accueille quatre projets majeurs du secteur pharmaceutique et de la santé, dont les promoteurs sont Aegle Mediacal and Surgical Ltd, Nova Health Innovation et Imbex Pharma. Ces quatre projets d’envergure rejoignent la vision de Landscope Mauritius pour la création du Rose Belle Pharmaceutical and Life Sciences Park.

En effet, le Rose Belle Business Park abritera très prochainement un centre moderne pour le traitement du cancer, un projet d’Aegle Medical and Surgical Ltd. Parallèlement à ce centre – qui offrira des services d’oncologie – Aegle Medical and Surgical Ltd construira au même endroit une unité de fabrication de produits pharmaceutiques. Le contrat de location a déjà été signé et Landscope Mauritius collabore pleinement dans ce projet.

Landscope Mauritius Ltd mettra une portion de terrain de 4 arpents à la disposition d’Aegle Medical and Surgical Ltd. De plus, Rs 150 millions seront investies pour ce projet. Cette première institution privée pour le traitement du cancer viendra complémenter les services déjà offerts dans ce domaine à Maurice.

Notamment, Landscope Mauritius Ltd a mis un terrain d’une superficie d’un arpent, situé à Rose-Belle, à la disposition de Nova Health Innovation pour un projet car la compagnie qui produit actuellement des verres ophtalmiques et des prothèses dentaires à petite échelle à Maurice prévoit d’utiliser le pays comme tremplin vers l’Afrique. Les plans de Nova Health Innovation sont actuellement étudiés par le Conseil de district et la constriction débutera une fois le permis de construction obtenu.

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Landscope Ltd: une troisième cyber tour envisagée à Ébène

La raison principale d’un troisième cyber tour à Ébène est l’incapacité à satisfaire la demande du marché pour de nouveaux espaces.

Un troisième cyber tour verra-t-elle le jour à la Cybercité d’Ébène ? Une réflexion de Landscope (Mauritius) Ltd s’oriente dans cette direction. Cette société, dont le principal actionnaire est le gouvernement, est engagée dans le secteur de l’immobilier.

La principale raison est l’incapacité à satisfaire la demande du marché pour de nouveaux espaces dans la Cybercité. «La demande pour les espaces bureaux à Ébène, surtout pour les deux cyber tours, dépasse la capacité actuelle. Landscope est en train de considérer la construction de la cyber tour 3 pour répondre à ces multiples requêtes», indique Naila Hanoomanjee, Chief Executive Officer (CEO) de Landscope.

La Sri Atal Behari Vajpayee Tower, anciennement Cyber Tower 1, la Cyber Tower 2 et l’Ébène Cybercity Business Park sont occupées à 100  % (voir tableau). Des espaces pour bureaux sont disponibles au Trade and Marketing Centre de Mer-Rouge et au bâtiment Hi Tech à Rose-Belle. Le premier est occupé à 63 % ; alors que le second ne l’est qu’à 11 % seulement.

Explication de Naila Hanoomanjee au sujet de la situation de la Rose-Belle Hi Tech : «Bien que le bâtiment soit attirant et situé près de l’aéroport, on trouve difficilement des locataires. Ces derniers recherchent des endroits centraux, qui peuvent être facilement accessibles à tous leurs employés. Par exemple, il serait difficile pour une personne habitant le Nord d’aller à Rose-Belle tous les jours.»

Bâtiments industriels à repenser

Landscope (Mauritius) Ltd éprouve quelques difficultés avec les bâtiments construits dans les années 80, par l’intermédiaire de la défunte Mauritius Export Development and Investment Authority (MEDIA), dirigée à l’époque par Chand Bhadain. «Ces bâtiments industriels sont à repenser pour une efficience optimale. Ils ont été construits, à travers l’île, dans les endroits où l’accès direct à l’emploi était un facteur clé pour le secteur manufacturier, plus précisément les investisseurs étrangers utilisant Maurice comme plateforme. Les bâtiments situés dans des endroits éloignés, notamment Bel-Air et Rivière-du-Rempart, semblent stagner.» La CEO avance que les investisseurs se plaignent du manque de main-d’œuvre qualifiée et des difficultés d’accessibilité à ces sites.

Situation différente à Quartier-Militaire, à Bambous et à Forest-Side, où l’ex-MEDIA a également fait construire des bâtiments industriels. «Les espaces y sont virtuellement occupés à 100 %.» Plusieurs pistes ont été envisagées par Landscope (Mauritius) Ltd en vue d’améliorer sa performance au niveau des bâtiments industriels qui ont du mal à trouver preneur. «Nous repensons les bâtiments industriels qui sont difficiles à louer. Nous essayons de trouver une utilisation alternative. Par exemple, les convertir en bureaux, les sous-diviser pour les louer aux petites et moyennes entreprises, entre autres.»

Au chapitre du programme de construction de Landscope (Mauritius) Ltd figure le démarrage des travaux en vue de la rénovation de l’Astrolabe et du tunnel se trouvant au côté nord du Caudan, et celle du Grenier et ses alentours. Un appel d’offres pour la réalisation des travaux au Grenier sera lancé incessamment. Un nouveau morcellement résidentiel sera lancé bientôt à Côte-d’Or.

Promoteur de référence

«La stratégie de Landscope est d’agir comme un promoteur de référence. Son principal objectif consiste à mettre à la disposition des opérateurs du privé des zones de développement, avec tous les services appropriés, afin qu’ils puissent développer leurs projets. C’est un modèle qui a été mis en place au niveau de la Cybercité d’Ébène et du Riche-Terre Business Park. Ce sera également le cas pour Côte-d’Or Smart City, le projet du front de mer des Salines, le Côte-d’Or Hi-Tech Park et le Rose-Belle Pharmaceutical and Life Sciences Park.»

La performance de Landscope (Mauritius) Ltd sur le plan financier pour l’exercice se terminant au 30 juin 2018 a rélévé des bénéfices nets de Rs 44,9 millions après impôts. Ce qui représente une hausse de 56 % comparativement aux résultats enregistrés à la fin de l’exercice précédent. Le montant des actifs nets de Landscope (Mauritius) Ltd s’est élevé à Rs 10,3 milliards. Les revenus engrangés à la même période étaient de 251 millions.

Landscope (Mauritius) Ltd a émergé en 2016, après la fusion en une seule et même entité de Business Parks of Mauritius Ltd (BPML), de la State Property Development Co Ltd, de Tourist Villages Company Ltd, de la State Land Development Company Ltd et de la Pailles International Conference Centre Ltd. Pour la petite histoire, en octobre 2016, le CEO de BPML, Koomaren Chetty, avait déjà annoncé la construction d’une troisième tour.

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Port-Louis Waterfront, le souffle du renouveau

Vous êtes-vous baladé sur le nouveau Port-Louis Waterfront? En chantier depuis février 2018, la phase une de ce développement monstre est en cours d’achèvement. Derrière cette transformation, le prestigieux cabinet JFA Architects, qui a notamment travaillé à la rénovation du Château de Bel Ombre et à la construction du Royal Palm Marrakech Hôtel. Mandaté par le géant de l’immobilier Landscope (La futur Cour Suprême de Port-Louis et Riche Terre Business Parks notamment), les architectes et urbanistes de JFA Architects, basés à Floréal, se sont attelés à la rénovation du front de mer de la capitale pendant 18 mois, des “premières analyses urbaines” au “suivi de chantier” en passant par les phases de concept et de design. Ils dévoilent, pour La Isla, les coulisses de ce chantier colossal et tant espéré.

Au programme: refonte totale de l’Esplanade – désormais accueillante pour le piéton et habillée d’un mobilier urbain très design et de quelques palmiers encore trop frêles – et de ses bâtiments adjacents (côté sud, en attendant la refonte de l’Astrolabe, côté nord). Un chantier stratégique au cœur de la capitale: “Le Port-Louis Waterfront est un site urbain primordial dans la capitale, dans l’axe de l’Hôtel du Gouvernement et de la Place d’Armes, le long de l’autoroute M1, et offre une vue imprenable sur le Port,” nous précise l’équipe de JFA Architects, qui s’est inspirée notamment de développements similaires à l’étranger “pour en comprendre les divers éléments qui font d’un waterfront un espace vibrant et vivant”.

Au-delà des attentes de Landscope, JFA Architects s’est concentré sur ce que représente le waterfront pour le grand public. Pour ce faire, les urbanistes ont réalisé une étude auprès d’un panel de mauriciens. Les objectifs établis ? “Relier les espaces entre eux et rendre les cheminements plus fluides, en considérant ce projet non comme un projet isolé mais bien comme un élément d’un contexte plus large, et en créant notamment une vraie symétrie par rapport à la Place d’Armes”. La volonté ? Dynamiser l’espace en apportant “des activités et de la vie sur l’Esplanade”. L’arrivée prochaine du Metro Express, dont le terminal sera voisin, devrait permettre d’alimenter ce dynamisme au-delà des horaires de bureau.

Avec son nouveau look “à la fois bâti et végétal”, le Port-Louis Waterfront est désormais plus moderne. L’architecture géométrique aux lignes simples et épurées en témoigne. Les nouveaux bâtiments construits sur l’Esplanade et le long des rives du Caudan, accueillent de nouveaux espaces de commerces, principalement des snacks, restaurants et bars. Signe encourageant : ces nouvelles adresses de plein air avec vue sur mer font le plein, notamment le vendredi soir après le travail.

Le Port-Louis Waterfront n’est pas qu’un espace commercial. Tout a été pensé par rapport à la mer, pour que la balade piétonne soit la plus douce possible, entre kiosques, bancs et jets d’eau. JFA Architects a ainsi voulu “valoriser la relation à l’eau” …et apporter un souffle de fraîcheur bienvenu dans la capitale.

Alors que la première phase de développement est presque complétée, JFA Architects se dit satisfait du résultat: “Notre plus grande satisfaction, c’est la façon dont les usagers s’approprient ce nouvel espace. Nous espérons que ce n’est qu’un premier pas et que cela donnera de l’élan vers une régénération de la ville de Port-Louis”. Outre les projets de Landscope, le front de mer est bel et bien parti pour devenir le cœur culturel tant attendu. Développé par la compagnie Promotion and Development, Le Caudan Arts Center a ouvert ses portes le 1er décembre 2018. Ashish Beesoondial, directeur artistique des lieux, nous confiait récemment qu’il souhaitait que le Caudan Arts Center rassemble et forme les créatifs de tout univers. Concerts, théâtres, conférences, ce nouveau centre artistique est en lui-même un hub culturel. Un atout important dans la transformation de la capitale et dans la diversité de son offre culturelle.

Les chantiers à venir au Port-Louis Waterfront promettent de continuer sur cette lancée de régénération de Port-Louis. Cette transformation semble déjà enclenchée. Avec l’idée d’attirer un tourisme culturel, la troisième phase de la transformation du port sera axée sur la conversion de l’ancien hôpital militaire et du grenier – sites emblématiques d’un patrimoine mauricien en berne -, en des espaces culturels. Le gouvernement a comme projet, depuis des années, de transformer l’hôpital militaire en un musée de l’esclavage. Le but de Landscope, impliqué sur cette zone, est de capitaliser sur cet environnement riche en culture, incluant notamment l’histoire d’Aapravasi Ghat, afin de développer un tourisme culturel dans la capitale. Une vision positive et sans aucun doute d’avenir.

Au-delà de ces notes d’espoir et de ces initiatives vitales pour le rayonnement de Port-Louis, JFA Architects, fervent défenseur d’une capitale dynamique et culturelle, apporte un bémol: “Nous déplorons le manque de transparence et de vision globale des pouvoirs publics sur le devenir de Port-Louis, et de l’île Maurice en général. Comme dans bien d’autres pays, c’est en créant des plateformes de réflexion, d’échanges et de communication entre secteurs public et privé, que les choses avancent de manière concertée et efficace. Tout projet individuel, aussi beau et pertinent qu’il soit, n’est rien s’il ne s’intègre pas dans une réflexion plus globale, à l’échelle d’un quartier, d’une ville, d’un territoire…”

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Financial highlights – Inside News

Les profits de Landscope (Mauritius) Ltd augmentent de 56% pour passer à Rs 44,9 millions en 2018

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Les profits de Landscope (Mauritius) Ltd augmentent de 56%

Pour l’année financière s’achevant au 30 Juin 2018, Landscope (Mauritius) Ltd a vu ses profits (après impôts) grimper à Rs 44,9 Millions, soit une hausse de 56% comparé à l’année financière précédente, alors que le groupe a réalisé des profits de Rs 184,6 Millions.

Pour ce qui est des actifs de la compagnie, ceux-ci s’élèvent à Rs 10,3 Milliards (Groupe : Rs 12,2 Milliards).
Ces profits ont été réalisés après la fusion de diverses institutions, notamment Business Parks of Mauritius Ltd, la State Property Development Co Ltd, Tourist Villages Company Ltd, la State Land Development Company Ltd et Les Pailles International Conference Centre Ltd sous une seule entité, Landscope (Mauritius) Ltd.

La fusion de ces différents organismes, le 1er Novembre 2016, a apporté plus de synergie et une utilisation plus efficace des biens ainsi que des ressources de la compagnie et du groupe.

Le bilan financier du groupe a été préparé après la consolidation de Landscope (Mauritius) Ltd et de ses subsidiaires, à savoir Cyber Properties Investment Ltd, BPML Freeport Services Ltd, Informatics Park Ltd et Mauri Facilities Ltd.

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Financial highlights – Le Defi Quotidien

Published at page 4, Le Defi Quotidien 6 February 2019

COMMUNIQUÉ – Bilan Financier

Les profits de Landscope (Mauritius) Ltd augmentent de 56% pour passer à Rs 44,9 Millions en 2018

Progress of construction of the New Supreme Court

Progress of construction of the New Supreme Court, broadcasted in MBC 19h.30

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Un nouveau souffle à Ébène

Published at page 16-17 of Business Mag on 30 January 2019